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Don't want to forget this feeling | FT. Hiro
 :: Tokyo – Zone sécurisé :: Ueno – 上野 :: Hôpital

Nishimura Koichi
Devil’s slave
Nishimura Koichi
Race/Aspiration : Amateur de paranormal
Emploi/Études : Sans emploi
Date d'inscription : 25/05/2018
Messages postés : 76
Avatar : Aki [Arlequin]
Mar 9 Juin - 17:23

Don't want to forget this feelingIKEDA Hiro & NISHIMURA Koichi

Il fallait que ça arrive … L’apocalypse … En plein nuit en plus. Pourquoi fallait-il que cela se passe toujours quand il fait noir ? Le vide, l’obscurité, c’est tout ce dont Koichi était capable de voir dans le méandre de ses songes. Pour une fois qu’il avait un sommeil plutôt tranquille et sans cauchemar, il fallait que le vacarme vienne le réveiller et troubler le calme de l’hôpital. C’est dans un sursaut non contrôler que le jeune patient se réveil au brouhaha des cris et des meubles que l’on met sens dessus-dessous à l’étage inférieur. Son cœur bat a une allure folle, la peur s’empare de lui alors qu’il commence à imaginer le pire. Vient-on pour les cambrioler ? Qui ferait un braquage dans un hôpital psychiatrique ? Que se passe-t-il alors ? Mais le blond se coupe dans le fil de ses pensées quand la voix apeurée d’une infirmière retentit non loin de sa porte. Une attaque ? Sans attendre une minute de plus, le patient s’empare de sa précieuse boîte à musique qui ne laissera derrière lui pour rien au monde et se précipite dans le couloir.

Si tout semble aux premiers abords parfaitement normal, il se rend vite compte que toutes les lumières sont éclairées dans les chambres, alors que d’habitude il n’y a pas âme qui vive … Le jeune homme met du temps à s’habituer à la lueur après avoir passé un long moment dans la pénombre et se fraye un chemin en direction des escaliers de secours où pas mal de malades semblent avoir eus la même idée. C’est que personne ne devait s’attendre à ce qui allait se passer. A tel point qu’il n’y avait aucun gardien ni aucun médecins pour s’occuper des personnes qui sortent de leur chambre sans autorisation. Le premier réflexe de Koichi est de chercher son infirmière … La pauvre, il espérait réellement qu’elle aille bien. C’est ainsi que le jeune homme fendit la foule qui s’accumulait de plus en plus dans un mouvement de panique tout en criant à tue-tête le nom de son infirmière dans l’espoir de la trouver. Mais le brouhaha était tel qu’il s’entendait à peine. Tout le monde hurlait de panique et les mouvements précipités des patients l’empêchaient de se rendre dans la direction souhaitée.

Plus Koichi jetait un œil à ce qui l’entourait, plus la peur s’emparait de lui aussi. Resserrant la boîte à musique près de son cœur, le jeune garçon se donna un peu de courage pour continuer ses recherches. Peu à peu il ne tarda pas à voir des hommes en tenues militaires mais surtout portant des armes immenses et en la pointant à tous les angles. Certains d’entre eux hurlait aux infirmiers de cadrer les malades et de les évacuer le plus vite possible. Ils étaient donc en train de subir un attentat terroriste ? C’est en tout cas ce que le jeune patient en déduisit en voyant toutes les forces armées ainsi déployées. Il n’avait vu ça que dans les films ou à la télévision pendant les heures qu’il passait à la salle commune, mais jamais il n’aurait pensé vivre ça en vrai. C’est alors qu’une main se saisit de lui brusquement pour le tirer de la marée humaine et à la force qu’y mettait l’individu, il n’avait aucun mal à reconnaître là la poigne d’un des gardiens des salles d’isolements. Il regarda la colère de l’homme visible sur son visage avant qu’il ne le presse en direction du sous-sol … Non, il ne voulait pas y retourner … Il avait vécu un tel enfer dans ces lieux qu’il était hors de question d’y remettre un pied …

« S’il vous plaît, je peux retourner dans ma chambre ? Je suis désolé d’être sorti, mais pitié ne me faites pas descendre en bas … » Mais c’est comme si son geôlier n’en avait que faire de ce qu’il racontait et y mit plus de violence pour le forcer à descendre les marches.

Koichi sentait sa peur montait à mesure qu’il revoyait les ténèbres l’envelopper alors qu’il descendait les marches. Il faudrait un miracle pour qu’il ne termine pas dans cette prison souterraine. Quelque part sa bonne étoile ou son ange gardien avait dû entendre son appel à l’aide, car un autre patient plutôt brusque lui bloqua le passage en bousculant tout le monde sur son passage. S’il fallait faire un choix, le gardien venait de le faire. Préférant s’occuper du plus dangereux, il lâcha sa prise sur le bras de Koichi qui s’excusa de la faute qu’il allait commettre par angoisse. Se détachant de son entrave, il partit dans le sens opposé, s’éloignant le plus possible des escaliers. Il courut au milieu des couloirs fourmillants en tous sens à la recherche d’un abri où il ne craindrait rien. L’adrénaline qui pulsait dans ses veines le fit accélérer au détour d’un couloir et par crainte d’être suivis, tourna sa tête dans la direction opposée à ce moment-là. Un manque de concentration qui lui valut de se heurter de plein fouet à une personne beaucoup plus robuste que lui. Le patient eut un mouvement de recule sous la puissance du choc, alors que l’homme en face paraissait ne pas avoir bougé d’un centimètre.

Le temps qu’il réalise qu’il venait de se heurter de plein fouet à un militaire en pleine mission, le blond secoua un peu sa tête et posa enfin les yeux sur l’autre asiatique. Il eut un instant de flottement avant que sa vue divisé ne revienne peu à peu à la normal pour lui montrer une vision tout à fait exceptionnelle. Un homme pareil il en avait rarement vu avant, un militaire, un vrai … L’homme portait un uniforme noir avec une casquette militaire. Il avait un look atypique mais ce qui attira le plus son attention était le calibre qu’il avait entre les mains … Une balle perdue pouvait certainement faire de gros dégâts, ou même causer la mort instantané … Sous une telle vision, Koichi resta bouche bée, observant simplement son interlocuteur en détail. Si seulement le gardien ne l’avait pas interrompu dans sa contemplation … Il avait fini par lui remettre la main dessus. C’est en le voyant arrivé dans une colère noir que le jeune patient eut le réflexe de se cacher derrière le militaire, attrapant son bras dans un appel à l’aide silencieux. Mais après tout, qu’en avait-il à faire de son cas ? Il n’était pas là pour faire les garde-fous … Lorsque la poigne encercla de nouveau son bras et que cette douleur malheureusement familière le parcourus, le jeune homme se sentit impuissant face à la scène.

« Vous me faites mal … » Tenta d’abord Koichi en espérant que cela puisse relâcher la tension que le gardien exerçait sur son bras. Mais au contraire, il serra encore plus en le bousculant pour le forcer à le suivre malgré le militaire en plein milieu. « Je vais vous suivre mais arrêtez de tirer comme ça, j’ai mal … » Répéta le blond un peu plus fort alors que la douleur fit remonter ses souvenirs amer à son esprit.

Il ne voulait pas forcément désobéir mais c’est la peur qui avait parlé et il aurait aimé que son infirmière soit là pour empêcher ce massacre … Il tourna un regard de détresse en direction du militaire, pourtant il n’attendait rien en particulier, c’est comme si son instinct de survie avait agis à sa place. Mais après tout, qu’est-ce qu’un malade mental aurait comme importance face à l’ampleur de sa mission ? Koichi devait assumer sa situation. Peut-être qu’un jour il aura l’occasion de le revoir et de lui parler ? Alors, dans son analyse, Koichi fit en sorte de bien retenir le visage de cet homme. Une nouvelle mission impossible, un nouvel objectif épinglé pour le jeune Koichi qui permettra de lui faire garder espoir encore un peu plus longtemps …

Ikeda Hiro
Police detective
Ikeda Hiro
Race/Aspiration : Militaire
Emploi/Études : Militaire
Date d'inscription : 31/05/2018
Messages postés : 20
Avatar : Yoka [Diaura]
Lun 13 Juil - 3:45
Nishimura Koichi  & Kim Jae Sun945 mots
- Don't want to forget this feeling -  
 
Cela fait des mois qu'ils étaient sur le coup, ils avaient préparé dans les moindres détailles l'intervention pour éliminer un groupe de sorcières qui se sont réfugiées dans un hôpital psychiatrique et Hiro est très impatient de mener à bien sa mission. Il s'est préparé plus que ses camarades, beaucoup plus. Car ce n'est pas uniquement pour sauver le personnel médical ni les patients, mais aussi parce qu'il s'est donné comme mission de les tuer toutes, sans exception. À cause d'elles et des démons, il a été privé de l'amour d'une mère, et surtout à cause d'eux, il a comme une épée de Damoclès au-dessus de sa tête. Il sait qu'il est en danger, et le pire, c'est qu'il ne peut en parler à personne.

Le jour J est arrivé, et il est excité comme une puce, bien qu'il ne le montre pas spécialement. Ça bouillonne en lui, mais il doit être discret et surtout patient. S'ils échouent, c'est comme si c'était juste lui qui échoue et ça il en est hors de question. Il a peu dormi, mais pourtant, il est en pleine forme. Il est le premier à être près et attend impatiemment le feu vert pour se mettre en action. L'ordre est tombé et sa brigade se rend à l’hôpital psychiatrique. Arrivés sur place, ils essaient d'isoler les patients et le personnel soignant qui sont innocents, puis ils attaquent les sorcières. Mais comment réussir à tous les tuer dans un hôpital psychiatrique, avec les crie d'horreur des personnes qui ont peur ? Bien qu'ils soient habitués, ils ne doivent pas baisser leur vigilance et rassurer si besoin, même si leur priorité est bien sur les sorcières.

Très vite, ils tombent sur des sorcières et une bataille se met en route. Certains de ses camarades sont blessés, et bien qu'il s'inquiète pour eux, sa seule préoccupation est de tuer le plus de vermines. Ce qui le motive, en plus de sa haine contre elles, est le fait qu'elles se sont permis d'attaquer un endroit où non seulement il y a des civiles, mais en plus, ce sont des personnes fragiles, et ça le met dans une rage folle. Il ne se contrôle plus, il tire sans hésitation sur elles et hurle aux personnels soignant de protéger les patients en les mettant à l'abri, quitte à les faire sortir, quand soudain, il voit un patient et il frémit d'horreur. Si jamais une des pourritures le voit, il risque de se faire attaquer. Il peste entre ses dents, et surveille du coin de l’œil le jeune patient tout en restant concentré, mais n'apprécie pas qu'on puisse traiter un malade comme une personne fait. Son regard se pose sur une sorcière qui est prête à l'attaquer et il tire sur elle avant qu'elle est pu faire quoique ce soit. Il remarque que plusieurs sorcières sont après lui et il avance prudemment pour pouvoir trouver un angle pour se protéger et les viser plus facilement. Lorsque c'est bon, il les tuent et veux pour se mettre à l'abris afin de mieux observer qu'il percute le patient qui avait été malmener par son soignant. "Excusez-moi, vous allez bien ? Ne restez pas ici, c'est très dangereux pour le moment !" Dit il d'un ton autoritaire. Voyant que son arme est pointé sur le civil, il le baisse tout en étudiant s'il y a un quelconque risque. "Avez-vous mal quelque part ? Et votre soignant, il est où ? Où sont le personnel soignant qui s'occupent des patients ici ? Ce n'est pas vrai ! On demande de se mettre à l'abri avec les patients, et ils ne sont pas capables de faire ça !!!!" Hiro grogne avant de soupirer lorsque quelqu'un attrape brutalement l'homme. "Eh vous là !! Faites attention quand même ! Ce n'est pas un objet donc un peu de respect voulez vous ? Sinon je vous ferais voir ce que l'on fait avec les brutes de votre genre ! Si ça ne vous plais pas, il reste avec moi le temps de pouvoir le mettre en sécurité compris ?" Bon, là, il exagère, mais il n'apprécie pas spécialement la brutalité gratuite comme ce qu'il vient de voir. Il regarde de nouveau le jeune patient et essaie de parler calmement."Quel est votre prénom ?"  S'il doit le protéger, il faut qu'il sache au moins son prénom, c'est la moindre des choses.

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